Rwanda: Le Président Paul Kagame défie la Communauté internationale!
Sous la bonne gouverance de Paul Kagame, le Rwanda a surpris le monde par sa résilience et sa capacité à se reconstruire après le Génocide contre les Tutsis de 1994. Dans un contexte international complexe, marqué par des tensions géopolitiques croissantes, le Président rwandais Paul Kagame reste fermement attaché aux principes de sécurité et d’unité nationale. Face aux menaces de génocide pesant sur la communauté rwandophone tutsie dans l’est de la République Démocratique du Congo (RDC), il refuse de céder aux pressions des puissances occidentales. Au contraire, son engagement indéfectible à défendre toutes les personnes menacées se renforce.
Le Président rwandais Paul Kagame refuse de céder face aux sanctions imposées par les puissances occidentales, faisant de la sécurité des vies humaines sa priorité. Dans le contexte actuel, la compréhension de l’insécurité dans l’est de la RDC, ainsi que le soutien moral présumé qu’il apporte à la communauté rwandophone du M23, est perçue par lui, non pas comme une ingérence, mais comme une nécessité historique et morale. Loin d’être un acte de provocation, cette position reflète une conviction profonde: la sécurité est indissociable de l’humanité. À cet égard, la rébellion du M23, dont une part significative des membres est composée de Congolais parlant le Kinyarwanda, est souvent mal comprise. Les membres de la communauté rwandophone Tutsie de la RDC ont été contraints à l’apatridie, ceux qui ont eu peur de la résistance et de la mort sont entassés dans des camps de réfugiés au Rwanda, en Ouganda et ailleurs. Depuis plus de 30 ans, ils n’aspirent qu’à un retour sur leur terre natale.
Cependant, la situation actuelle de l’est de la RDC trouve ses racines dans la mauvaise gestion par le gouvernement congolais de l’héritage laissé par les frontières artificiellement tracées par les puissances coloniales au début du XXe siècle. En réalité, le Rwanda d’avant la Conférence de Berlin s’étendait jusqu’au lac Edouard, appelé Rwicanzige en Kinyarwanda. Nos vaillants ancêtres, sous le règne du Roi Kigeli IV Rwabugiri, ont conquis ces vastes et riches terres où les Rwandais ont émigré. Cette histoire est bien documentée dans la chronologie du Rwanda, notamment dans le cadre de la guerre de Bumpaka, dont la conclusion coïncide avec le passage de la comète Coggia, surnommée Nyakotsi par les Rwandais, en raison de la traînée lumineuse qu’elle laissait derrière elle. À la même période de fin du XIXe siècle, la France cédait l’Alsace-Lorraine à l’Allemagne. Mais injustement, les rwandais de ces contrées conquises au XIXe siècle et qui sont devenus congolais par la fixation définitive des frontières en 1910, sont toujours maltraités et appellés étrangers sur le sol conquis par leurs ancêtres, ils sont toujours menacés d’expulsion par l’Etat congolais. Toutefois, le Rwanda ne réclame pas la rectification des frontières; il souhaite la fin des pogroms contre les Tutsis rwandophones congolais, victimes de la mauvaise gouvernance.
À ce problème d’héritage mal géré, s’ajoute une grave idéologie génocidaire, alimentée par les Forces Démocratiques pour la Libération du Rwanda (FDLR) en RDC et dans d’autres régions du monde. Les FDLR, milice d’extrémistes Hutu ayant commis le génocide contre les Tutsis en 1994, ont trouvé refuge en RDC. Cela fait maintenant trente ans que les FDLR tuent des Congolais Tutsis et pillent la RDC, souvent sous le regard inactif, voire admiratif, des autorités congolaises. Et pire encore, le gouvernement congolais semble être devenu leur porte-parole, endossant leur dessein malveillant de retourner exterminer les Tutsis au Rwanda. Le Président Félix Tshisekedi a même promis publiquement de les aider à changer le régime de Kigali et de bombarder le Rwanda, un acte qu’il a tenté d’exécuter le 26 janvier 2025, portant la mort à 16 Rwandais.
Mais, malgré l’adversité, Paul Kagame cherche à dépasser les accusations infondées qui le présentent comme l’instigateur des conflits. Pour lui, la réponse aux crises réside dans une compréhension approfondie des racines du problème congolais et dans la promotion d’initiatives de paix et de dialogue tenant compte de la sécurité du Rwanda. Convaincu que la prévention d’un nouveau génocide, qu’il se déroule sur le sol rwandais ou ailleurs, nécessite d’éradiquer les racines du problème, il insiste sur l’importance de lutter contre toute forme de discrimination et d’exclusion. En tant que victime des pogroms contre les Tutsis dans les années 1960 au Rwanda et marqué par 30 ans d’apatridie, Paul Kagame évoque régulièrement la notion de « rwandité », une identité nationale nouvelle qui transcende les anciennes divisions ethniques et qui est au cœur de la résilience rwandaise.
Cette idée d’unité nationale interpelle tous les Rwandais, les incitant à se rassembler face aux menaces qui pèsent sur leur humanité commune. Ainsi, pour Paul Kagame, chaque vie compte, qu’elle soit rwandaise ou congolaise. Cette vision humaniste l’oblige à agir et à défendre proactivement les populations en danger. Il est conscient que l’inaction face à la violence et aux persécutions serait une trahison, non seulement pour ceux qui souffrent aujourd’hui, mais aussi pour la mémoire des victimes du Génocide contre les Tutsis de 1994. Son gouvernement est déterminé à traquer et à combattre les idéologies exterminatrices qui pourraient resurgir sous n’importe quelle forme.
La détermination de Paul Kagame à combattre le génocide et ses manifestations émane de sa compréhension historique des dangers de l’indifférence. À une époque où les intérêts géopolitiques dictent souvent les actions des États, sa réaction aux sanctions et critiques occidentales représente une affirmation de dignité. Sa voix contre toutes formes de segrégation, de discrimination, d’exclusion, toutes gestations de génocide, résonne tel un mantra dans la politique rwandaise actuelle.
Sous la pression des pays européens, le Rwanda maintient une position qui défie à maints égards la communauté internationale, affirmant sa volonté d’agir pour la défense et, si possible, la protection physique des Rwandophones Tutsis, quel que soit l’endroit où ils se trouvent. Ce faisant, Paul Kagame souligne l’urgence d’unir les efforts pour prévenir des tragédies similaires à celles vécues par son pays. C’est un appel à la solidarité et à l’unité, tant au niveau national qu’international. C’est dans ce cadre que Paul Kagame soutient les initiatives régionales conjointes (EAC-SADC), afin de trouver une solution à l’insécurité dans l’est de la RDC et d’établir une paix durable dans la région. Cependant, Paul Kagame exhorte tous ceux qui brandissent la menace de la guerre à réfléchir à deux fois.
Le Président Paul Kagame appelle les Rwandais à ne pas se laisser détourner par la situation ni par les menaces de tout acabit, mais plutôt à continuer leurs activités. Il les encourage à devenir les gardiens de leur propre sécurité, en cultivant cette identité collective qui les unit contre les forces exterminatrices. Son leadership dépasse la simple gestion politique; il est centré sur la création d’une société rwandaise durable et résiliente, capable de faire face aux défis présents et futurs.
Le Président Paul Kagame met en lumière les enjeux cruciaux des droits de l’homme dans la région des Grands Lacs africains. En défendant le droit à la vie de chaque individu, il rappelle aux nations occidentales le coût de l’inaction face aux atrocités. Son engagement à protéger non seulement les Rwandais, mais aussi tous ceux menacés par la violence, témoigne d’une responsabilité élargie qui transcende les frontières.
En somme, le Président rwandais Paul Kagame, dans sa détermination à défendre la sécurité et l’intégrité des populations vulnérables, s’impose non seulement comme un leader face aux crises passées, mais aussi comme un acteur clé des défis actuels et futurs. Le scénario politique qu’il propose réaffirme que l’humanité, au-delà des divisions historiques, prime sur les ambitions géopolitiques. Fort de son histoire et de sa résilience, le Rwanda est prêt à agir pour protéger tous ceux qui, par leur seule existence, attestent de la richesse et de la diversité humaine. Entre l’opulence et l’or et une vie modeste mais riche de valeurs humaines, le choix est clair, comme l’a bien illustré Jean de La Fontaine dans sa fable “Le Savetier et le Financier”.
Sibomana J.Bosco
